Avec François Poisson (Photographes) et Maxime Crozet Le nomade d’un jour ou de toujours devrait pouvoir se sentir partout chez lui grâce à sa grande capacité d’adaptation qu’il met en œuvre à chaque nouvelle rencontre avec un lieu ou une culture. Mais dans une société comme la nôtre, le nomade n’est-il pas considéré comme un marginal ? Nomadisme ou sédentarité, rien n’oblige au choix, les deux peuvent se vivre dans l’apaisement et la sérénité.